print

Following the call for help by the RECOWA-CERAO presidential council, RECOWACERAO NEWS AGENCY, RECONA was recently praised by various efforts by the Catholic Church in the fight against the coronavirus. In the United States, many Catholic parishes supported their faithful financially and otherwise. In Africa, the story is almost the same but in different ways. In Senegal, for example, Doctor Michel Mendy, priest and doctor specializing in public health, took it upon himself to risk his life in order to save those who are overwhelmed by the coronavirus at the peace hospital in Ziguinchor (south),

Doctor Michel Mendy, priest and doctor, a specialist in public health is on the front line of the fight against COVID-19 in this region. It presents a Portrait of a carer “of souls and bodies”.

Ordained a priest on December 27, 1997, in the diocese of Ziguinchor, in the south of Senegal, Father Michel Mendy became a doctor of medicine after studying at the University Cheikh Diop in Dakar. In service at the Ziguinchor Peace Hospital, he is currently at the heart of the fight against the COVID-19 pandemic.

From the first hours of this illness, Father Mendy, who already had experience in the fight against the Ebola virus, alerted, by setting up internal training for his service on COVID-19 “even before the hospital is not starting to train its staff “. Father Mendy, the social upheavals born of preventive measures against COVID-19 advocated by the State and the health authorities of our country “can in themselves constitute a brake if they are not accompanied by constant and adequate lighting in every situation. ” made public, it detailed the development of the coronavirus pandemic in Senegal while highlighting the risks of contamination and specifying the barrier actions.

The priest-doctor praised the efforts of the Senegalese populations to “respect” the prevention instructions and estimated that the common objective is to stop the pandemic even if “100% compliance does not exist”. This priest-doctor is convinced: “we will soon sing in chorus the wonders of God who has always freed his people from trials, he asks people to stay at home”.

Medical studies

Father Michel Mendy became a doctor at the request of his late bishop, Mgr Maixent Coly, who had a project for a diocesan health center. But this idea of ​​the bishop came to join an old project of the priest. “It was my bishop who directed me to medicine within the framework of a diocesan health project. It is a coincidence that since my childhood, I nurtured the desire to take medication after my priestly ordination” , he explains.

Father Michel, with his scientific baccalaureate and seven years at the major seminary, was sent three months before his priestly ordination to the Faculty of Medicine of the University Cheikh Anta Diop (Ucad). With a doctorate in his pocket at UCD, Father Michel, aware of the tasks that awaited him, gave up a specialization in internal medicine started a year earlier, to go to Belgium for specialization in public health. “As the first doctor priest of Senegal, I barely saw myself attached to a health structure”, he stressed, noting that his mission should be more that of coordination, advice, management of the health system at the level of the Catholic Church.

Challenges

Father Mendy considers that his vocation as a priest and his commitment to medicine “are one and the same mission”. That of taking care of souls but also of bodies. This is the reason why, this former spiritual director of the middle seminary in Brin (south), invites the bishops to encourage future priests to make scientific series and to open the way to other professionals like lawyers, engineers etc

xxxxxxxxxx

Suite à l’appel à l’aide du conseil présidentiel RECOWA-CERAO, AGENCE DE NOUVELLES RECOWACERAO, RECONA a récemment été saluée par divers efforts de l’Église catholique dans la lutte contre le coronavirus. Aux États-Unis, de nombreuses paroisses catholiques ont soutenu leurs fidèles financièrement et autrement. En Afrique, l’histoire est presque la même mais de manières différentes. Au Sénégal, par exemple, le docteur Michel Mendy, prêtre et médecin spécialisé en santé publique, a pris sur lui de risquer sa vie pour sauver ceux qui sont submergés par le coronavirus à l’hôpital de la paix de Ziguinchor (sud),

Le docteur Michel Mendy, prêtre et médecin, spécialiste de la santé publique, est en première ligne de la lutte contre le COVID-19 dans cette région. Il présente un Portrait d’un soignant “d’âmes et de corps”.

Ordonné prêtre le 27 décembre 1997, dans le diocèse de Ziguinchor, au sud du Sénégal, le père Michel Mendy est devenu docteur en médecine après des études à l’Université Cheikh Diop de Dakar. En service à l’hôpital de la paix de Ziguinchor, il est actuellement au cœur de la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Dès les premières heures de cette maladie, le père Mendy, qui avait déjà de l’expérience dans la lutte contre le virus Ebola, a alerté, en mettant en place une formation interne pour son service sur COVID-19 “avant même que l’hôpital ne commence à former son personnel” . Père Mendy, les bouleversements sociaux nés des mesures préventives contre le COVID-19 prônées par l’État et les autorités sanitaires de notre pays “peuvent en soi constituer un frein s’ils ne sont pas accompagnés d’un éclairage constant et adéquat dans toutes les situations”. il a détaillé le développement de la pandémie de coronavirus au Sénégal tout en mettant en évidence les risques de contamination et en précisant les actions barrières.

Le prêtre-médecin a salué les efforts des populations sénégalaises pour «respecter» les consignes de prévention et estimé que l’objectif commun est de stopper la pandémie même si «100% de compliance n’existe pas». Ce prêtre-médecin est convaincu: “nous allons bientôt chanter en chœur les merveilles de Dieu qui a toujours libéré son peuple des épreuves, il demande aux gens de rester chez eux”.

Études de médecine

Le père Michel Mendy est devenu médecin à la demande de son défunt évêque, Mgr Maixent Coly, qui avait un projet de centre de santé diocésain. Mais cette idée de l’évêque est venue rejoindre un ancien projet du prêtre. “C’est mon évêque qui m’a orienté vers la médecine dans le cadre d’un projet de santé diocésain. C’est une coïncidence que depuis mon enfance, j’ai nourri le désir de prendre des médicaments après mon ordination sacerdotale”, explique-t-il.

Le père Michel, avec son baccalauréat scientifique et sept ans au grand séminaire, a été envoyé trois mois avant son ordination sacerdotale à la faculté de médecine de l’université Cheikh Anta Diop (Ucad). Avec un doctorat en poche à l’UCD, le père Michel, conscient des tâches qui l’attendaient, a renoncé à une spécialisation en médecine interne commencée un an plus tôt, pour se rendre en Belgique pour une spécialisation en santé publique. “En tant que premier médecin prêtre du Sénégal, je me voyais à peine attaché à une structure de santé”, a-t-il souligné, notant que sa mission devrait être davantage celle de coordination, de conseil, de gestion du système de santé au niveau de l’Église catholique.

Défi

Le père Mendy considère que sa vocation de prêtre et son engagement pour la médecine “sont une seule et même mission”. Celui de prendre soin des âmes mais aussi des corps. C’est pourquoi, cet ancien directeur spirituel du séminaire du milieu à Brin (sud), invite les évêques à encourager les futurs prêtres à faire des séries scientifiques et à ouvrir la voie à d’autres professionnels comme les avocats, les ingénieurs. …

Rev. Fr. George Nwachukwu