In recent years, clerical and liturgical disguises have been more and more popular with children during parades in the streets.
It was a day that impatiently awaited, the pupils of the preschool and primary schools. Tuesday, February 25, Mardi Gras, the day of plenty before the start of Lent, is celebrated with pomp each year in secular and denominational schools in Côte d’Ivoire.
For several days, parents and their children have been informed of the theme chosen for the carnival, the main attraction of the celebration. “We even received reminder SMS messages for contributions. In addition, my son kept telling me that we have to make special clothes for him, “said Monique N’guessan, a relative of a student. “We’re finally going to move on,” she adds, smiling.
In the streets of some towns in Abidjan, teachers and their students marched in disguises that rivaled ingenuity. Lay schools, for the most part, have preferred traditional clothing or left this choice to the convenience of parents. As for the confessional Catholic establishments, it was rather the clerical or liturgical garments that were preferred to celebrate Fat Tuesday. “The parade and popular celebration of Fat Tuesday are traditions that have existed for a long time,” explains Father Mathieu Krou, doctor of the liturgy. Even if it is related to the time of Lent, the celebration of Mardi Gras is not Christian as such. ”
Priests, religious, nuns, bishops
This year, Internet users have published several photos of children disguised as police, gendarme, doctor, but also as a priest, religious or bishop. “It must be said that today in most Catholic schools, people prefer to take liturgical clothes,” says Father Krou. We can easily understand that this is just for the occasion. This is not a problem. ”
The widely shared photos of children disguised as clerics “show great interest in religion,” said Father Joseph Yéo, of the Diocese of Abidjan. “Now the question is whether it is the parents or the children who choose these clothes, and in what spirit.” According to Father Yéo, “if it is the children themselves who make this choice, this is an opportunity to seize to support these emerging vocations by taking them to the competent authorities. ”
Lent
In the event that it is the parents who choose them, he believes, it must be done in a spirit of piety. “All in all, a catechesis is to be done on the respect of the sacred and above all to invite Christians to give more importance to the days following Mardi Gras, that is to say, Lent.”
Since it is children who celebrate Fat Tuesday most often, suggests Father Mathieu Krou, “we could draw their attention to the celebration of Ash Wednesday because after carnival many children will not come to mass. ”
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Ceux du monde français aiment la célébration plus que ceux du côté anglais de la fracture. Contrairement à ceux du monde anglais, le mardi avant le mercredi des cendres, connu sous le nom de MARDI GRAS, est largement célébré avec une fête foraine adéquate avant de commencer la saison de jeûne. Dans cette édition, RECOWACERAO NEWS AGENCY, RECONA a braqué son projecteur autour de la zone et a découvert la célébration à son apogée. Nous voici dans une école primaire catholique en Côte d’Ivoire appelée Notre-Dame de la Paix alors que l’école organisait des carnavals le jour du Mardi Gras.
Depuis quelques années, les déguisements cléricaux et liturgiques sont de plus en plus prisés par les enfants lors des défilés dans les rues.
C’est un jour qu’attendaient avec impatience, les élèves des établissements préscolaires et primaires. Mardi 25 février, Mardi gras, jour d’abondance avant le début du Carême, est célébré avec faste chaque année dans les établissements scolaires laïcs et confessionnels en Côte d’Ivoire.
Depuis plusieurs jours, les parents et leurs enfants ont été informés du thème retenu pour le carnaval, la principale attraction de la célébration. « Nous avons même reçu des SMS de rappel pour les contributions. De plus, mon fils me disait sans cesse qu’on doit lui confectionner des vêtements spéciaux », témoigne Monique N’guessan, une parente d’élève. « On va enfin passer à autre chose », ajoute-t-elle en souriant.
Dans les rues de certaines communes d’Abidjan, les instituteurs et leurs élèves ont défilé avec des déguisements rivalisant d’ingéniosité. Les écoles laïques, dans leur grande majorité, ont préféré les vêtements traditionnels ou laissé ce choix à la convenance des parents. Quant aux établissements confessionnels catholiques, c’étaient plutôt les vêtements cléricaux ou liturgiques qui ont été préférés pour célébrer le mardi gras. « Le défilé et la réjouissance populaire du mardi gras sont des traditions qui existent depuis longtemps, explique le père Mathieu Krou, docteur en liturgie. Même si elle est liée au temps de Carême, la célébration du mardi gras n’est pas chrétienne en tant que telle. »
Prêtres, religieux, religieuses, évêques
Cette année, les internautes ont publié plusieurs photos d’enfants déguisés en policier, gendarme, médecin, mais aussi en prêtre, religieux ou évêque. « Il faut dire qu’aujourd’hui dans la plupart des écoles catholiques, les gens préfèrent prendre des vêtements liturgiques, constate le père Krou. On comprend aisément que c’est juste pour la circonstance. Cela ne pose pas de problème. »
Les photos largement partagées d’enfants déguisés en clercs « montrent un grand intérêt de la chose religieuse », commente le père Joseph Yéo, du diocèse d’Abidjan. « Maintenant la question qui se pose est de savoir si ce sont les parents ou les enfants qui font le choix de ces vêtements, et dans quel esprit ». Pour le père Yéo en effet, « si ce sont les enfants eux-mêmes qui font ce choix, il s’agit là d’une occasion à saisir pour accompagner ces vocations naissantes en les conduisant auprès des autorités compétentes. »
Carême
Dans l’hypothèse où ce sont les parents qui les choisissent, estime-t-il, il faut que cela se fasse dans un esprit de piété. « Tout compte fait, une catéchèse est à faire sur le respect du sacré et surtout inviter les chrétiens à donner plus d’importance aux jours qui suivent le mardi gras, c’est-à-dire le Carême ».
Étant donné que ce sont les enfants qui célèbrent le plus souvent le mardi gras, suggère pour sa part le père Mathieu Krou, « on pourrait attirer leur attention sur la célébration du mercredi des cendres, parce qu’après le carnaval beaucoup d’enfants ne viendront pas à la messe. »
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