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Information parvenue au bureau de RECOWACERAO NEWS AGENCY, RECONA, par l’intermédiaire de son correspondant attaché au bureau du président de RECOWA-CERAO, Mgr Ignatius Ayau Kaigama a envoyé une note d’avertissement aux gouvernements de divers pays du continent africain. Il les a doucement chargés de mettre les fonds empruntés à ce qu’il a décrit comme “une utilisation judicieuse et efficace”. Sa note d’avertissement lit ;

Les représentants du gouvernement nigérian ont été mis en garde contre le détournement de fonds empruntés à l’extérieur et de ressources publiques pour maintenir leur style de vie somptueux et utiliser plutôt l’argent pour développer la nation.

Dans un message pastoral présenté à l’issue de la 2e Assemblée générale de l’archidiocèse, Mgr Ignatius Kaigama déplore l’état de ce pays d’Afrique de l’Ouest qui, selon lui, est criblé de corruption et de souffrance parmi les pauvres.

“Alors que nous exigeons les dividendes de la démocratie, nous appelons le gouvernement à utiliser judicieusement et efficacement les énormes sommes empruntées à l’extérieur pour gérer les affaires du gouvernement et financer des projets à travers le pays”, a déclaré l’archevêque Kaigama dans le message pastoral partagé. Samedi 25 septembre.

Il a ajouté: «Beaucoup de nos jeunes errent dans les rues avec de faibles espoirs pour un avenir meilleur. Nous ne pouvons donc pas, au Nigeria, rester aveugles aux problèmes de gouvernance corrompue, de chômage, d’insécurité, de mécontentement parmi les jeunes et de l’incapacité croissante de beaucoup à répondre aux besoins fondamentaux de la vie.

« Nos dirigeants politiques ne devraient pas dissiper fébrilement leur énergie à perfectionner leurs stratégies politiques coûteuses tout en abandonnant leurs responsabilités sociales envers le peuple », a ajouté l’archevêque catholique de l’archidiocèse d’Abuja au Nigeria.

Notre journaliste a souligné qu’il a poursuivi en notant que les citoyens de la nation la plus peuplée d’Afrique “ne peuvent pas continuer à rêver d’un meilleur Nigeria et passer sous silence les graves lacunes de la loi électorale”.

“Il s’ensuit seulement qu’une bonne loi électorale jettera les bases d’un exercice électoral crédible pour produire des dirigeants, travaillant pour le bien commun”, a déclaré l’archevêque nigérian dans son message pastoral du 25 septembre publié à l’occasion de l’Assemblée archidiocésaine.

Au cours de l’Assemblée des 24 et 25 septembre, des membres du clergé, des religieux et des religieuses et des laïcs de l’archidiocèse catholique d’Abuja ont examiné les programmes pastoraux et sociaux de l’archidiocèse et la manière dont ces programmes affectent l’église locale et la nation.

Dans le message pastoral, l’archevêque Kaigama exprime sa gratitude au pape François pour avoir déclaré l’année 2021 « Année de saint Joseph », qui, selon lui, continue d’être une période de grâce, riche de bénédictions et de renouveau non seulement pour les maris et les pères chrétiens. mais aussi pour l’institution du mariage et de la famille.

« Nous avons fait l’expérience de plus grands signes de pardon et d’amour, donnant force et espoir à de nombreuses familles de notre archidiocèse », dit-il.

Dans son discours aux participants à l’Assemblée archidiocésaine, l’archevêque nigérian a noté que les pays africains avaient été épargnés par les effets néfastes de la pandémie de COVID-19, qui, selon lui, avait malheureusement mis en évidence de nombreux autres défis sur le continent.

“Par intervention divine, l’Afrique a été épargnée par la destruction largement spéculée par la pandémie de coronavirus qui a ravagé tous les continents du monde”, a déclaré l’archevêque Kaigama.

Cependant, a-t-il ajouté, « la pandémie a exposé notre faible endurance politique et notre économie fragile à des situations plus difficiles qui constituent un recul vers une évangélisation efficace et le développement rapide de notre peuple ».

“Nous condamnons dans l’ensemble la violence et les attaques incessantes des insurgés, des bandits, des ravisseurs et des personnes ayant des motifs criminels et douteux dans certaines parties de notre pays”, a déclaré l’archevêque, regrettant que l’insécurité ait paralysé les activités économiques et agricoles, forçant la nation dépendre de prêts extérieurs pour survivre.

“Les causes profondes de ces crises et actes criminels ne sont pas inconnues des autorités, mais les sentiments malsains semblent jouer dans la gestion de la menace avec des gants”, a déclaré l’archevêque Kaigama.

Il a appelé le gouvernement du pays et les forces de l’ordre à faire tout ce qui est nécessaire pour s’attaquer au problème de l’insécurité nationale et rétablir une paix durable.

Pendant ce temps, l’Ordinaire local d’Abuja a expliqué le Synode sur la synodalité, que le pape François a annoncé plus tôt cette année pour s’ouvrir solennellement le mois prochain.

“La synodalité signifie que les gens de l’Église” marchent ensemble “, se rassemblent en assemblées et exploitent leurs dons spirituels, pastoraux, intellectuels et matériels par le dialogue, une écoute attentive et priante les uns des autres”, a déclaré Mgr Kiagama.

L’Assemblée générale qui vient de se terminer pour l’archidiocèse d’Abuja, a déclaré l’archevêque nigérian, est une forme de synodalité, où les délégués des paroisses, des zones pastorales, des aumôneries, des sociétés ecclésiales écoutent ce que le Saint-Esprit dit à l’archidiocèse.

D’autres qui ont participé à l’Assemblée, que l’archevêque a comparée à un processus synodal, étaient des membres du clergé de l’archidiocèse et des représentants de chaque ordre religieux féminin et masculin servant dans l’archidiocèse d’Abuja.

« Cela nous aide à trouver un moyen d’améliorer l’évangélisation et, ainsi, de contribuer au bien-être, au progrès et au développement de notre Église et de la nation », a déclaré l’archevêque Kaigama.

 

 



A informação chega ao gabinete da RECOWACERAO NEWS AGENCY, RECONA, através do seu correspondente adido ao gabinete do Presidente da RECOWA-CERAO, Dom Ignatius Ayau Kaigama, enviou uma nota de advertência aos governos de vários países do continente africano. Ele gentilmente os cobrou de Aplicar fundos emprestados para o que ele descreveu como “uso judicioso e eficaz”. Com o tempo, houve vários relatos de apropriação indébita de fundos em diferentes países, especialmente em seu país natal, a Nigéria, que ele usa como um estudo de caso. Sua nota de advertência diz;

Funcionários do governo na Nigéria foram advertidos contra desviar fundos emprestados externamente e recursos públicos para sustentar seu estilo de vida luxuoso e, em vez disso, usar o dinheiro para desenvolver a nação.

Numa mensagem pastoral apresentada no final da 2ª Assembleia Geral da Arquidiocese, o Arcebispo Ignatius Kaigama lamenta o estado do país da África Ocidental, que diz estar repleto de corrupção e sofrimento entre os pobres.

“Enquanto exigimos os dividendos da democracia, apelamos ao governo para que coloque em uso judicioso e eficaz, as enormes quantias que estão sendo emprestadas externamente para gerir os assuntos do governo e financiar projetos em todo o país”, disse o arcebispo Kaigama na mensagem pastoral compartilhada Sábado, 25 de setembro.

Ele acrescentou: “Muitos de nossos jovens vagam pelas ruas com vaga esperança de um futuro melhor. Não podemos, portanto, na Nigéria permanecer cegos para as questões de governança corrupta, desemprego, insegurança, o descontentamento entre os jovens e a crescente incapacidade de muitos para atender às necessidades básicas da vida. ”

“Nossos líderes políticos não devem dissipar energia febrilmente no aperfeiçoamento de suas estratégias políticas caras e, ao mesmo tempo, abandonar suas responsabilidades sociais para com o povo”, disse ainda o arcebispo católico da arquidiocese de Abuja, da Nigéria.

Nosso repórter sublinhou que observou que os cidadãos da nação mais populosa da África “não podem continuar a sonhar com uma Nigéria melhor e encobrir as graves lacunas da Lei Eleitoral”.

“Segue-se apenas que um bom ato eleitoral lançará as bases para um exercício eleitoral confiável para formar líderes, trabalhando para o bem comum”, disse o arcebispo nigeriano em sua mensagem pastoral de 25 de setembro emitida por ocasião da Assembleia Arquidiocesana.

Durante a Assembleia de 24 a 25 de setembro, membros do clero, religiosos e religiosas e leigos da Arquidiocese Católica de Abuja examinaram os programas pastorais e sociais da Arquidiocese e como os programas afetam a igreja local e a nação.

Na mensagem pastoral, o Arcebispo Kaigama expressa a gratidão ao Papa Francisco por declarar o ano de 2021 como o “Ano de São José”, que ele diz continuar a ser um período de graça, rico de bênçãos e renovação não apenas para maridos e pais cristãos mas também para a instituição do casamento e da família.

“Temos experimentado maiores sinais de perdão e amor, dando força e esperança a muitas famílias em nossa arquidiocese”, diz ele.

Em seu discurso aos participantes da Assembleia Arquidiocesana, o Arcebispo nigeriano observou que os países africanos foram poupados dos efeitos adversos da pandemia COVID-19, que, disse, infelizmente, trouxe à tona muitos outros desafios no continente.

“Por intervenção divina, a África foi poupada da destruição amplamente especulada pela pandemia de coronavírus que devastou todos os continentes do mundo”, disse o arcebispo Kaigama.

No entanto, acrescentou, “a pandemia expôs nosso fraco vigor político e frágil economia a situações mais difíceis que constituem um retrocesso para uma evangelização efetiva e para o rápido desenvolvimento de nosso povo”.

“Condenamos em sua totalidade a violência e os ataques implacáveis ​​de insurgentes, bandidos, sequestradores e pessoas com motivos criminosos e duvidosos em alguns segmentos de nosso país”, disse o arcebispo, e lamentou que a insegurança tenha paralisado as atividades econômicas e agrícolas, forçando o nação depender de empréstimos externos para sobreviver.

“As raízes dessas crises e atos criminosos não são desconhecidas das autoridades, mas os sentimentos doentios parecem se manifestar no manejo da ameaça com luvas de pelica”, disse o arcebispo Kaigama.

Ele apelou ao governo do país e às agências de aplicação da lei para fazerem tudo o que for necessário para lidar com a questão da insegurança nacional e restaurar uma paz duradoura.

Enquanto isso, o Ordinário local de Abuja explicou o Sínodo sobre a Sinodalidade, que o Papa Francisco anunciou no início deste ano para abrir solenemente no próximo mês.

“Sinodalidade significa o povo da Igreja‘ caminhando junto ’, reunindo-se em assembléias e aproveitando seus dons espirituais, pastorais, intelectuais e materiais através do diálogo, ouvindo atentamente e orando uns aos outros”, disse o arcebispo Kiagama.

A recém-concluída Assembleia Geral da Arquidiocese de Abuja, disse o Arcebispo nigeriano, é uma forma de Sinodalidade, onde delegados das Paróquias, áreas pastorais, Capelanias, Sociedades eclesiais ouvem o que o Espírito Santo está a dizer à Arquidiocese.

Outros que participaram da Assembleia, que o arcebispo comparou a um processo sinodal, eram membros do clero da arquidiocese e representantes de cada ordem religiosa feminina e masculina servindo na arquidiocese de Abuja.

“Isso nos ajuda a encontrar uma forma de aumentar a evangelização e, assim, contribuir para o bem-estar, o progresso e o desenvolvimento de nossa Igreja e da nação”, disse Dom Kaigama.

 

 



Information reaching the office of RECOWACERAO NEWS AGENCY, RECONA, through her Correspondent attached to the office of the President of RECOWA-CERAO, Archbishop Ignatius Ayau Kaigama has sent a warning note to the governments in various countries of the African continent. He gently charged them to Put Borrowed Funds to what he described as “judicious, effective use”, Overtime, there have been several reports of misappropriation of funds in different countries, especially in his home country, Nigeria which he uses as a case study. His warning note reads;

Government officials in Nigeria have been cautioned against diverting externally borrowed funds and public resources to sustain their lavish lifestyles and instead use the money to develop the nation.

In a pastoral message presented at the end of the 2nd General Assembly of the Archdiocese, Archbishop Ignatius Kaigama bemoans the state of the West African country, which he says, is riddled with corruption and suffering among the poor.

“As we demand the dividends of democracy, we call on the government to put into judicious and effective use, the huge amounts being borrowed externally to run the affairs of government and finance projects across the nation,” Archbishop Kaigama says in the pastoral message shared Saturday, September 25.

He added, “Many of our young people roam the streets with dim hopes for a brighter future. We cannot in Nigeria, therefore, remain blind to the issues of corrupt governance, unemployment, insecurity, the discontent among the young people and the increasing inability of many to meet the basic necessities of life.”

“Our political leaders should not feverishly dissipate energy in perfecting their costly political strategies while abandoning their social responsibilities to the people,” The Catholic Archbishop of Nigeria’s Abuja Archdiocese further says.

Our reporter underlined that he went on to note that the citizens of Africa’s most populous nation “cannot continue to dream of a better Nigeria and gloss over the serious lacunae in the Electoral Act.”

“It only follows that a good Electoral Act will lay the foundations for a credible election exercise to produce leaders, working for the common good,” the Nigerian Archbishop says in his September 25 pastoral message issued on the occasion of the Archdiocesan Assembly.

During the September 24-25 Assembly, members of the Clergy, women, and men Religious, and Laity in the Catholic Archdiocese of Abuja, examined the Archdiocese’s pastoral and social programs and how the programs affect the local church and the nation.

In the pastoral message, Archbishop Kaigama expresses gratitude to Pope Francis for declaring the year 2021 as the “Year of St. Joseph”, which he says continues to be a period of grace, rich with blessings and renewal not only for Christian husbands and fathers but also for the institution of marriage and the family.

“We have experienced greater signs of forgiveness and love, giving strength and hope to many families in our Archdiocese,” he says.

In his address to participants in the Archdiocesan Assembly, the Nigerian Archbishop noted that African countries had been spared from adverse effects of the COVID-19 pandemic, which he said had, unfortunately, brought to the fore many other challenges on the continent.

“By divine intervention, Africa has been spared from the widely speculated destruction by the coronavirus pandemic that ravaged every continent of the world,” Archbishop Kaigama said.

However, he added, “the pandemic exposed our weak political stamina and fragile economy to more difficult situations that constitute a setback towards effective evangelization and the rapid development of our people.”

“We condemn in totality the violence and relentless attacks by insurgents, bandits, kidnappers, and people with criminal and dubious motives across some segments of our country,” the Archbishop said, and expressed regret that insecurity has crippled economic and agricultural activities, forcing the nation to depend on external loans for survival.

“The root causes of these crises and criminal acts are not unknown to the authorities, but the unhealthy sentiments seem to play out in the handling of the menace with kid gloves,” Archbishop Kaigama said.

He appealed to the country’s government and the law enforcement agencies to do all that is necessary to tackle the issue of national insecurity and restore lasting peace.

Meanwhile, the Local Ordinary of Abuja has explained the Synod on Synodality, which Pope Francis announced earlier this year to solemnly open next month.

“Synodality means the people of the Church ‘walking together’, gathering together in assemblies, and harnessing their spiritual, pastoral, intellectual and material gifts through dialogue, attentive and prayerful listening to one another,” Archbishop Kiagama said.

The just ended General Assembly for the Archdiocese of Abuja, the Nigerian Archbishop said, is a form of Synodality, where delegates from Parishes, pastoral areas, Chaplaincies, church Societies listen to what the Holy Spirit is saying to the Archdiocese.

Others who participated in the Assembly, which the Archbishop likened to a Synodal process, were members of the Clergy of the Archdiocese and representatives of each female and male Religious Order serving in Abuja Archdiocese.

“This helps us to find a way of enhancing evangelization, and thereby, contributing to the welfare, progress, and development of our Church and the nation,” Archbishop Kaigama said.

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