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RECCOWACERAO has repeatedly emphasized that change is the law in nature that is constant. It was on this note that the Vatican ruling body, in her wisdom decided to pick the Italian Giuseppe Schlitzer and appointed him the president of the Vatican’s Financial Reporting Authority on Wednesday, April 15. He succeeds in Tommaso Di Ruzza, implicated in the investigation of possible financial embezzlement.

Pope Francis has indeed taken over the Financial Information Authority (AIF), the Vatican’s “financial policeman”, responsible for combating illegal activities in the financial and monetary fields. After a change of president last November, the institution is now endowed with a new director, Giuseppe Schlitzer, appointed this Wednesday, April 15 by Cardinal Secretary of State Pietro Parolin.

According to the daily bulletin of the Holy See – still laconic – Tommaso Di Ruzza, appointed director of the AIF in January 2015, had indeed “concluded his five-year mandate”. His departure had, however, been taken for granted for several months, Tommaso Di Ruzza being one of the Vatican collaborators targeted by searches last September as part of an investigation into “financial operations carried out a certain time ago”, according to the explanations provided at the time by the Press Office.

A note from the Vatican Gendarmerie – intended to remain confidential but published by Italian media – even barred access to the small state at Tommaso Di Ruzza, as well as four other Vatican employees.

A few days after the revelation of this information, an AIF press release published at the request of its president stated that “neither the director [Tommaso Di Ruzza] nor any other official of the AIF has performed their duties inadequately. nor had any improper conduct ”. In the aftermath, the Vatican reacted by indicating that the president of the AIF would not be reappointed. The appointment now of a new director seems to want to close this chapter of tensions between the AIF on the one hand and on the other hand the Vatican justice and the Secretary of State.

According to Vatican News, the new director, Giuseppe Schlitzer, graduated in economics and commerce from Federico II University in Naples and “majored in economics in the United States at the University of Chicago and at George Washington University ” The Italian is “the author of numerous essays on macroeconomics and finance, economic forecasting, governance, and business ethics”, continues the Vatican official media while mentioning that Giuseppe Schlitzer is vice president of the ‘Jacques Maritain International Institute.

In addition to Giuseppe Schlitzer, a new vice-director has been appointed to the AIF. It’s Federico Antellini Russo, an Italian economist who has worked with the Vatican’s “financial policeman” since 2015.

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RECCOWACERAO a souligné à plusieurs reprises que le changement est la loi dans la nature qui est constante. C’est sur cette note que l’instance dirigeante du Vatican, dans sa sagesse, a décidé de choisir l’Italien Giuseppe Schlitzer et l’a nommé président de la Financial Reporting Authority du Vatican le mercredi 15 avril. Il succède à Tommaso Di Ruzza, impliqué dans l’enquête sur détournement de fonds éventuel.

Le pape François a en effet repris la Financial Information Authority (AIF), le “policier financier” du Vatican, chargé de lutter contre les activités illégales dans les domaines financier et monétaire. Après un changement de président en novembre dernier, l’institution est désormais dotée d’un nouveau directeur, Giuseppe Schlitzer, nommé ce mercredi 15 avril par le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin.

Selon le bulletin quotidien du Saint-Siège – toujours laconique – Tommaso Di Ruzza, nommé directeur de l’AIF en janvier 2015, avait en effet “conclu son mandat de cinq ans”. Son départ était cependant tenu pour acquis depuis plusieurs mois, Tommaso Di Ruzza étant l’un des collaborateurs du Vatican visé par des perquisitions en septembre dernier dans le cadre d’une enquête sur “des opérations financières effectuées il y a un certain temps”, selon les explications fournies à l’époque par le service de presse.

Une note de la gendarmerie du Vatican – destinée à rester confidentielle mais publiée par les médias italiens – a même interdit l’accès au petit État de Tommaso Di Ruzza, ainsi qu’à quatre autres employés du Vatican.

Quelques jours après la révélation de ces informations, un communiqué de presse de l’AIF publié à la demande de son président a déclaré que “ni le directeur [Tommaso Di Ruzza] ni aucun autre responsable de l’AIF n’ont exercé leurs fonctions de manière inadéquate. “Au lendemain, le Vatican a réagi en indiquant que le président de l’AIF ne serait pas reconduit. La nomination d’un nouveau directeur semble aujourd’hui vouloir clore ce chapitre de tensions entre l’AIF d’une part et d’autre part. la justice du Vatican et le secrétaire d’État.

Selon Vatican News, le nouveau directeur, Giuseppe Schlitzer, est diplômé en économie et commerce de l’Université Federico II de Naples et “spécialisé en économie aux États-Unis à l’Université de Chicago et à l’Université George Washington” L’Italien est “l’auteur de de nombreux essais sur la macroéconomie et la finance, les prévisions économiques, la gouvernance et l’éthique des affaires “, poursuit les médias officiels du Vatican tout en mentionnant que Giuseppe Schlitzer est vice-président de l’Institut international Jacques Maritain.

Outre Giuseppe Schlitzer, un nouveau vice-directeur a été nommé au FIA. Il s’agit de Federico Antellini Russo, un économiste italien qui travaille avec le «policier financier» du Vatican depuis 2015.

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