On this particular date which is a Sunday, February 2nd at the parish of Saint-Antoine-de-Padoue d’Abomey-Calavi in the diocese of Cotonou we witnessed the celebration of the Presentation of Jesus in the Temple. This celebration, coupled with the 24th edition of the World Day for Consecrated Life, gave aspirants of the diocese the opportunity to meet consecrated people to communicate and exchange.
It was with a large caravan that the celebration, in the diocese of Cotonou, began off the 24th edition of the World Day for Consecrated Life. Leaving from the parish of Sainte-Joséphine-Bakhita in Abomey-Calavi, it is with song and praise to the rhythm of the fanfare that the aspirants of the diocese, under the guidance of their chaplain and consecrated persons, priests, religious and nuns went to the neighboring Saint-Antoine-de-Padoue parish. “This caravan is like a response to the Lord. To answer his call, you have to start walking, ”explains Father Anatole Zoé Dovonou, diocesan vocations chaplain. “It is also an awareness-raising process. By embarking on this walk, the young person becomes more aware of the call he has received and the need for him to leave everything to follow the Master, “added the chaplain.
The day then continued with a communication on the accompaniment and integration of aspirants and postulants in consecrated life, and a mass chaired by Mgr Antoine Ganyé, Archbishop Emeritus of Cotonou and various other activities.
What do they aspire to?
But what do these young people who want to come consecrated aspire to?
Marguerite Ayikpola, pupil in grade 1, 17, aspiring from the Sacred Heart parish of Cotonou, explains: “I aspire to religious life because it is good to give your life to God. I think that the nuns find a certain joy in giving their life to God, in helping the weak. I too would like to help young people, especially the poor. ” Around Florent Avoc Maintenance, 20 years old, a student in chemistry-biology-geology, an aspirant from the parish of Notre-Dame-du-Rosaire d’Agassa-Godomey, who wants to become a Camillian religious, adding: “I would like to become a Camillian to serve my sick brothers and sisters who are in hospitals until the risk of my life. I am, indeed, touched and even shocked to see many suffering people who have no one to take care of them. I want to get involved in religious life to help the doctors who invest in this apostolate. ”
Landry Djo, 24, a business student, aspiring Salesian, wants to evangelize with music: “I really like music. I dream of bringing young people to Christ through music. And since the Salesians are in the care of children and young people, I have come closer to them and have participated in meetings for three years “.
Wonder and satisfaction of the organizers
In view of the large number gathered, the diversity of the profiles of aspirants who came to participate in this day during which they had the opportunity to meet many men and women religious from various congregations, Brother Roger Bessan, Episcopal Vicar in Charge Institutes of consecrated life and societies of apostolic life in the diocese, says that they are satisfied and justifies this crossed approach which has allowed a fruitful encounter between consecrated persons and aspirants. “My impressions in such circumstances are very good,” explains the Capuchin. The fact that they came in large numbers shows that they are taking seriously the call that God made to them. ” And to add, “by choosing to put ourselves together with the aspirants, we want to mean that they are people who are entrusted to us so that we can guide them in their journey”. To Father Dovonou, chaplain of aspirants to add: “We come to the consecrated so that they communicate to us the taste of God, the joy of living in the following of Christ. This is the meaning of today’s day between aspirants and devoted to religious and priestly life. ”.
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Dans divers pays, notamment en Afrique, la fête de la Présentation de Jésus-Christ a été célébrée en grande pompe. Cette année, cette cérémonie particulière a coïncidé avec la célébration de la journée annuelle de sanctification des prêtres et des religieux. RECOWACERAO NEWS a suivi l’événement dans certains pays du monde, en particulier dans la sous-région ouest-africaine.
A cette date particulière qui est un dimanche 2 février à la paroisse de Saint-Antoine-de-Padoue d’Abomey-Calavi dans le diocèse de Cotonou nous avons suivi la célébration de la Présentation de Jésus au Temple. Cette fête, couplée avec la 24e édition de la journée mondiale de la vie consacrée a donné l’occasion aux aspirants et aspirantes du diocèse d’aller à la rencontre des personnes consacrées pour communier et échanger.
C’est par une grande caravane qu’a commencée la célébration, dans le diocèse de Cotonou, de la 24e édition de la Journée mondiale de la vie consacrée. Partis de la paroisse Sainte-Joséphine-Bakhita d’Abomey-Calavi, c’est avec chants et louanges au rythme de la fanfare que les aspirants et aspirantes du diocèse, sous la férule de leur aumônier et de personnes consacrées, prêtres, religieux et religieuses se sont dirigés vers la paroisse Saint-Antoine-de-Padoue voisine. « Cette caravane, c’est comme une démarche de réponse au Seigneur. Pour répondre à son appel, il faut se mettre en marche », explique le père Anatole Zoé Dovonou, aumônier diocésain des vocations. « C’est aussi une démarche de prise de conscience. En s’engageant dans cette marche, le jeune prend, en effet, davantage conscience de l’appel qu’il a reçu et la nécessité pour lui, de tout laisser pour suivre le Maître », ajoute l’aumônier.
La journée s’est ensuite poursuivie avec une communication portant sur l’accompagnement et l’intégration des aspirants et postulants dans la vie consacrée, et une messe présidée par Mgr Antoine Ganyé, archevêque émérite de Cotonou et diverses autres activités.
À quoi aspirent-ils ?
Mais à quoi aspirent ces jeunes qui veulent de venir consacrés ?
Marguerite Ayikpola, élève en classe de 1re, 17 ans, aspirante de la paroisse Sacré-Cœur de Cotonou, s’explique : « j’aspire à la vie religieuse parce que c’est bon de donner sa vie à Dieu. Je pense que les religieuses trouvent une certaine joie à donner leur vie à Dieu, à aider les personnes faibles. J’aimerais moi aussi aider les jeunes, les pauvres surtout ». Autour de Florent Avocetien, 20 ans, étudiant en chimie-biologie-géologie, aspirant de la paroisse Notre-Dame-du-Rosaire d’Agassa-Godomey, qui veut devenir religieux camillien d’ajouter : « je voudrais devenir camillien pour servir mes frères et sœurs malades qui sont dans les hôpitaux jusqu’au péril de ma vie. Je suis, en effet, touché et même choqué en voyant de nombreuses personnes souffrantes mais qui n’ont personne pour s’occuper d’elles. Je veux m’engager dans la vie religieuse pour aider les médecins qui s’investissent dans cet apostolat ».
Landry Djo, 24 ans, étudiant en gestion commerciale, aspirant salésien, quant à lui, veut évangéliser par la musique : « j’aime beaucoup la musique. Je rêve de faire venir des jeunes vers le Christ à travers la musique. Et puisque les salésiens sont dans l’encadrement des enfants et des jeunes, je me suis rapproché d’eux et participe aux réunions depuis trois ans ».
Émerveillement et satisfaction des organisateurs
Au regard du grand nombre réuni, de la diversité des profils des aspirants et aspirantes venus participer à cette journée au cours de laquelle ils ont eu l’occasion de rencontrer de nombreux religieux et religieuses de diverses congrégations, le frère Roger Bessan, vicaire épiscopal chargé des Instituts de vie consacrée et des sociétés de vie apostolique dans le diocèse, se dit satisfait et justifie cette approche croisée qui a permis une féconde rencontre entre personnes consacrées et aspirants. « Mes impressions en pareille circonstance sont très bonnes, explique-le capucin. Le fait qu’ils soient venus nombreux montre qu’ils prennent au sérieux l’appel que Dieu leur a lancé ». Et d’ajouter, « en choisissant de nous mettre ensemble avec les aspirants(e) s, nous voulons signifier qu’ils sont des personnes qui nous sont confiées afin qu’on puisse les orienter dans leur cheminement ». Au père Dovonou, aumônier des aspirants de renchérir : « nous venons vers les consacrés pour qu’ils nous communiquent le goût de Dieu, la joie de vivre à la suite du Christ. Voilà le sens de la journée d’aujourd’hui entre aspirants et aspirantes et consacrés à la vie religieuse et sacerdotale ».
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